Système de contrôle 3D

réduit les coûts d’acquisition, de maintenance et de bridage

  • par Renishaw
  • 31 mars 2011
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  • Equator fait appel à une structure « cinématique parallèle » pour scanner à grande vitesse et haute répétabilité
    Equator fait appel à une structure « cinématique parallèle » pour scanner à grande vitesse et haute répétabilité
  • Equator Organiser – Application frontale opérateurs dont l’emploi simple se limite à quelques clics
    Equator Organiser – Application frontale opérateurs dont l’emploi simple se limite à quelques clics
  • Equator mesurant un composant médical
    Equator mesurant un composant médical

Alternative radicale aux mesures traditionnelles dédiées, Equator marque le lancement de la première ligne de systèmes de comparateurs 3D de Renishaw. Sa conception économique brevetée permet d’effectuer des mesures comparatives très rapides pour contrôler des pièces fabriquées en grandes séries. De nombreux programmes pièces peuvent être stockés et des modifications peuvent s’effectuer en quelques minutes. Equator a été conçu et éprouvé dans le cadre d’une étroite collaboration avec des utilisateurs de référence dans les domaines de l’automobile, de l’aérospatiale et de la médecine. Renishaw a ainsi créé un système de contrôle léger, rapide et à haute répétabilité, dont la mise en oeuvre se résume a quelques clics pour l’opérateur. Comme il suffit de quelques secondes pour passer d’une pièce à une autre, il convient parfaitement aux procédés de fabrication flexibles ou peut recevoir des pièces provenant de plusieurs machines. Rapidité et répétabilité supérieures Une structure cinématique parallèle permet une très grande rigidité qui se traduit par la possibilité de scanning rapide avec une répétabilité inégalée capitale pour la précision des contrôles. Exploitation et programmation faciles Les systèmes de contrôle 3D se déclinent en deux niveaux de logiciels. D’une part, une version de programmation permettant aux ingénieurs de production de créer des gammes au format DMIS et, d’autre part, une version atelier autorisant l’exécution de ces gammes que les opérateurs ne peuvent pas modifier. Ces deux niveaux de logiciels utilisent l’application frontale Opérateur MODUS Organiser qui exige peu ou pas de formation. En revanche, sur le système programmable complet, l’application de programmation MODUS Equator permet aux ingénieurs de créer rapidement des gammes de contrôle pour toutes sortes de pièces, qu’elles soient simples, complexes, prismatiques ou paramétrées. Il est facile de programmer des contrôles par scanning et points de contact à l’aide du palpeur compact de scanning SP25 Renishaw. Le balayage peut saisir des milliers de points pour définir une entité et permet ainsi d’analyser la forme de n’importe quelle entité. La clé électronique fournie avec le système programmable active une fonctionnalité complète de programmation, idéale pour que des ingénieurs ajustent des gammes tout en en gardant la maîtrise. Stabilité thermique La technologie novatrice et à haute répétabilité d’Equator s’appuie sur la traditionnelle comparaison des pièces usinées à une pièce-étalon. Le réétalonnage compense immédiatement les conditions thermiques d’un environnement d’atelier. Equator peut également intervenir dans les usines où il y a d’importants écarts de température ; un étalonnage suffit pour remettre le système à zéro et le préparer à une comparaison répétable à l’étalon. Traçabilité à des MMT étalonnées Les pièces-étalons n’ont plus besoin d’être des pièces personnalisées coûteuses car il suffit de prendre une pièce usinée et de la mesurer sur une machine à mesurer tridimensionnelle (MMT) pour définir les écarts des entités par rapport à la CAO ou aux valeurs nominales des plans. Les résultats de n’importe quelle MMT, exécutant n’importe quel logiciel de programmation, peuvent être configurés pour un usage direct dans le logiciel Equator. De fait, la précision étalonnée absolue d’une MMT (souvent installée dans des locaux à température contrôlée pour garantir sa précision) peut être répercutée à l’environnement d’atelier afin de donner aux mesures une traçabilité étalonnée. En chargeant le fichier d’étalonnage dans le logiciel on peut comparer les contrôles réalisées par le système à la CAO ou aux valeurs nominales des plans, ce qui permet une maîtrise réelle du procédé avec les logiciels SPC. Contrôleur Equator Livré avec chaque système, le contrôleur de est un système de commande dédié qui propose un environnement sûr et robuste pour exécuter le logiciel système. Similaire aux systèmes de commande de machines-outils, il permet en outre d’exécuter ses propres applications Windows. Toutes les cartes électroniques et logiciels nécessaires sont regroupées en une seule unité. L’utilisateur peut créer et exécuter des gammes de mesure DMIS, changer des réglages de mesure et transférer des données ou des gammes. Le fait qu’un PC supplémentaire ne soit pas nécessaire réduit les coûts pour le client et élimine les risques d’incompatibilité ou d’instabilité rencontrée avec les PC classiques. Bridages économiques Un bridage capable de positionner la pièce à un millimètre près est suffisant pour exploiter complètement la précision de l’Equator. Les bridage de précision coûteux ne sont donc plus nécessaires. Changement de stylet intégré Le système utilise son propre rack de changement de stylets, fourni en standard, pour changer les modules de stylets SM25 en cours de cycle. Les modules SM25, en s’accouplant au palpeur de MMT SP25, permettent aux utilisateurs d’Equator d’échanger des configurations de stylets sans qu’un réétalonnage soit nécessaire à chaque changement. Jusqu’à six combinaisons de stylets peuvent être chargées dans le rack à tout moment. Options d’automatisation Equator peut s’intégrer à des cellules de production automatisées, soit par l’option d’interface E/S pour le connecter à un robot, soit en envoyant les résultats de mesure à un logiciel SPC. Avec certains logiciels SPC il est également possible de le connecter à certains automates de machines-outils modernes pour actualiser les valeurs de correcteurs et parvenir ainsi à une gestion automatisée des processus. Edité par Orhan Erenberk

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